La mort par pendaison 28 : une exécution (quater)

C'est la fin du film.

L'un des deux personnages principaux est condamné à mort par pendaison, pour des raisons qu'il ne serait pas correct de dévoiler.

Cette fois, pas de cagoule pour ménager les âmes sensibles.

On notera que la corde est nettement plus courte, et la trappe beaucoup moins élevée que d'habitude. C'est tout de même suffisant pour tuer son homme en lui brisant la nuque.

Ce film est une adaptation du roman de Christopher Priest.

La mort par pendaison 27 : pendaison juvénile

C'est le pré-générique du film.

Des dizaines de pirates des deux sexes et de tous âges sont mis à mort par pendaison par groupes entiers. Dans la dernière fournée, il y a un garçonnet : comme l'enfant est trop petit pour arriver à la hauteur de la corde, on le fait monter sur un tonneau. Avant de mourir, il entonne l'hymne des pirates que ses camarades reprennent en choeur.

La caméra ne nous montrera pas sa mort : elle s'attardera sur la médaille qu'il tenait dans la main et qui tombe au ralenti lorsque s'ouvre la trappe.

C'est le troisième film de la série.

C'est aussi notre premier enfant victime de pendaison : un cas relativement rare au cinéma, ce sera sans doute le dernier.

La mort par pendaison 26 : pendaison impudique

Le colonel Kurtz (Marlon Brando) s'est exilé au fin fond de la jungle, "au coeur des ténèbres", où il règne en despote sur une population de sauvages qui le vénèrent comme un dieu. Un dieu cruel, friand d'exécutions et de sacrifices humains.

Ici, le pendu est nu au-dessous de la ceinture : un malhonnête lui aurait-il volé son pantalon ?

Dennis Hopper, mort il y a quelques jours, a raconté dans une interview que pour cette scène avec un pendu, Francis Ford Coppola n'avait pas voulu utiliser un mannequin, mais un véritable cadavre humain. Martin Sheen, qui n'était pas prévenu, n'avait que modérément apprécié la surprise.

Le film est une libre adaptation de la nouvelle de Joseph Conrad, "Heart of Darkness".

La mort par pendaison 25 : pendaison à un croc de boucher

Encore une pendaison atypique, et féminine.

Leatherface s'est fait une nouvelle copine, mais elle est un peu agitée. Pour la calmer, il la pend à un croc de boucher. Ce n'est pas une pendaison mortelle, mais c'est sans doute désagréable, et peut-être un peu douloureux. En tout cas, ça suffit à la réduire à quia.

Maintenant qu'elle est plus tranquille, il peut découper sous ses yeux le corps de son petit ami à la tronçonneuse, avant de s'occuper d'elle.

La mort par pendaison 24 : pendaison tirée par les cheveux

Dernières images du film, sans lien véritable avec l'histoire qui précède.

Deux chasseurs désoeuvrés s'amusent à faire des cartons sur des morts-vivants attachés à des arbres (on s'amuse comme on peut).

Leur dernière cible est une femme pendue par les cheveux à une branche maîtresse : l'impact fait voler son visage en éclats.

C'est notre première victime féminine d'une pendaison, mais en l'occurrence, la pendaison n'est pas la cause de sa mort.

Ce film est le cinquième (et dernier ?) volet du cycle des morts-vivants de George A. Romero.

La mort par pendaison 23 : pendaison à la force du poignet

Le shérif d'une petite ville a été assassiné par des hors-la-loi avec la complicité muette des habitants.

L'homme sans nom (Clint Eastwood) arrive dans cette bourgade qu'il va littéralement transformer en enfer. Puis il règle leur compte aux trois meurtriers. Invisible, tapi dans l'ombre, en hauteur, il tue le premier en l'attrapant avec l'arme du crime, un fouet, et le hisse dans les airs jusqu'à ce qu'il meure pendu.

Les deux autres ne perdent rien pour attendre...

La mort par pendaison 22 : double suicide

Du même réalisateur, d'après le même auteur...

Ces deux militaires se sont-ils suicidés par peur, par désespoir, ou avaient-ils quelque chose sur la conscience ? Connaissaient-ils le lourd secret de cette brume mystérieuse et maléfique qui s'est abattue sur la ville, contraignant ses habitants à se réfugier dans le supermarché ? La foule en est convaincue, qui va massacrer le dernier soldat survivant.

Ce film est une adaptation du court roman éponyme de Stephen King.

La mort par pendaison 21 : suicide (cinq)

Un vieux détenu a purgé sa peine : il est libéré après avoir passé plusieurs dizaines d'années au pénitencier de Shawshank. Il ne parvient pas à se réadapter à la vie à l'extérieur. Il décide de mettre fin à ses jours et se pend à la poutre du logement qu'on lui a attribué.

Echec de la réinsertion...

Le film est une adaptation de la nouvelle de Stephen King intitulée "Rita Hayworth and Shawhshank Redemption".

La mort par pendaison 20 : suicide (quater)

C'est une des premières scènes du film.

Shuya, le jeune héros, rentre du lycée et découvre le corps de son père qui s'est suicidé : il s'est pendu, le pantalon baissé, avec ce qui ressemble à la commande à distance du ventilateur...

Il a laissé un message d'encouragement à son fils rédigé sur du papier toilette...
C'est le premier cadavre sur lequel tombe le jeune Shuya, mais ce n'est pas le dernier : toute sa classe va y passer...

La mort par pendaison 19 : suicide (ter)

Luigi (Marcello Mastroianni) ne supporte plus de vieillir : il a "uno bête furiose endre les iambes" qu'il ne peut plus satisfaire. Il décide donc de mettre fin à ses jours. Il se pend avec sa ceinture dans le jardin de sa logeuse.

On peut se demander pourquoi il s'est collé un sparadrap sur la bouche...

La mort par pendaison 18 : suicide (bis)

C'est la première scène du film.

Un vieil érudit écrit quelques lignes, range des papiers, et se pend au lustre de son bureau pour des raisons mystérieuses.

Ici, nous ne verrons pas le visage du pendu : la caméra glisse pudiquement pour se focaliser sur ses pieds qu'agite un dernier soubresaut. Le vieil homme en perd même l'une de ses pantoufles.

Ce film est une libre adaptation du roman d'Arturo Pérez-Reverte intitulé Club Dumas.